C’est une part de mystère total qui entoure le décès de Rutger Hauer qui a succombé soudainement à l’âge de 75 ans. les médias ont tous publier dès le 19 juillet 2019 que l’acteur aurait une « maladie dont la nature n’a pas été précisée » ou encore ils la qualifie...
C’est une part de mystère total qui entoure le décès de Rutger Hauer qui a succombé soudainement à l’âge de 75 ans. les médias ont tous publier dès le 19 juillet 2019 que l’acteur aurait une « maladie dont la nature n’a pas été précisée » ou encore ils la qualifie sous les termes de « maladie courte ».
Une mort entourée de mystères
Rutger Hauer plein de vie décède subitement à sa soixante quinzième années d’existence et le mystère autour de sa disparition est totalement au silence qui pèse sur ses proches. Guillermo Del Toro a attendu le 24 juillet pour publier un Tweet en hommage à l’acteur. Pourquoi avoir attendu le 24 à 10h pour authentifier le décès ? Les médias se seraient ils trop précipiter ? Peut on comprendre que Rutger Hauer se trouvait peut être entre la vie et la mort hospitalisé ? Alors que son décès s’est donc déroulé aux Pays Bas, la nouvelle a dû fuiter et s’est répandue parmi les médias comme une trainée de poudre sur internet. Certains y voyaient même une fake news. Tôt ou tard nous comprendrons pourquoi ce géant à la carrière transcendante a disparu si vite.
RIP the great Rutger Hauer: an intense, deep, genuine and magnetic actor that brought truth, power and beauty to his films. My personal favorites: Flesh + Blood, Eureka, The Hitcher, Blade Runner, Ladyhawke and Blind Fury. pic.twitter.com/1F2Via3mLY
Rutger Hauer dans la variété de ses rôles, acteur incroyablement polyvalent mais se démarque par des rôles joués dans la Dark Culture notamment avec différents films à son actif dont LadyHawke à Blade Runner ou encore La chair et la sang.
« Tous ces… moments se perdront… dans l’oubli.
comme… les larmes… dans la pluie »
C’est ainsi que Blackmedia chante au revoir tristement dans l’arche perdue du temps.
Passionnée par l’horreur depuis l’enfance, j’ai vu mon premier film très - trop ?- jeune. Que ce soit au premier ou second degré, mon amour pour "le côté obscur" s’est étendu progressivement aux jeux vidéos (Resident Evil, Silent Hill...), aux atmosphères post-apocalyptiques ou glauques (l'incontournable HP Lovecraft) ou encore aux jeux de plateau (Les demeures de l'épouvante...). Je satisfais mes envies créatrices via la photographie Urbex, le dessin, et - accessoirement - par une dévotion totale à l'écriture d'articles sur votre site de Dark Culture préféré !
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